Un bon ami m’a fait remarquer que je publie moins d’articles. Le développement de mon agence de webMarketing et la naissance de ma deuxième me prennent beaucoup de temps et mon temps libre est davantage tourné vers la famille.
Il y a quelques mois, j’avais publié un article sur la gestion des contenus obsolètes et je suis en train d’appliquer tous ces conseils sur mon propre blog.
De la destruction nait l’espoir
Si certains articles n’ont plus de légitimité à rester en ligne, je recycle les informations importantes et je les compile ailleurs. Soit sur ce site, soit sur des supports plus privés. (Supports de cours / Interventions futures à des séminaires / Présentations institutionnelles)
Que deviennent les droits d’auteurs d’un contenu dépublié ?
Même si ces contenus sont dépubliés, ils restent la propriété intellectuelle de leur auteur et aucune republication ne pourrait être faite sans en avoir demandé l’autorisation. Un manquement à cette règle peut être légalement considérée comme une violation des droits d’auteurs, ce qui expose le contrevenant à de lourdes sanctions.
De ce fait, j’en profite pour mettre en garde contre certaines pratiques flirtant avec le black hat, séduisantes, mais non sans risque. Si vous achetez un nom de domaine expiré, ne cédez pas à la tentation de faire revivre l’ancien site, en republiant les anciennes pages aspirées depuis la wayback machine. Leurs auteurs (et leurs éditeurs d’ailleurs) pourraient faire valoir leurs droits et ça peut vous coûter très cher.
Bonjour Aurélien,
Comme disent les djeunz (qui sont devenus vieux pour certains d’entre eux), je plussoie ! Et c’est aussi ma manière de faire.
Embarqués comme on l’est souvent dans l’instantanéité du Web, on oublie qu’Internet est aussi un formidable outil de mémoire, une véritable encyclopédie vivante dont la temporalité nous échappe alors qu’elle est la base même du stockage d’informations. Et c’est justement cet aspect des choses qui doit nous inciter à revenir régulièrement sur ce qu’on a écrit au fil du temps, car certaines de nos productions sont devenues obsolètes ou, tout au moins, mériteraient d’être remaniées, dépubliées, archivées, quitte à être réutilisées par la suite dans une compilation ou pour servir d’argumentaire à de nouvelles prestations.
Le web n’est pas uniquement fait d’instants présents, c’est aussi et surtout une source de richesses passées propres à préparer l’avenir…
Bruno